Le fondateur
Une histoire de famille
Une fratrie, oui comme beaucoup de projet passion, le fondateur de Allure Provence travaille en collaboration avec son frère. Unis par la même passion automobile héritée de leur père. Père qui a possédé entre autre une R8 Gordini, une Austin mini Cooper S, et une 504 Ti, la source de notre projet…
Pour autant, ils ne viennent pas d’une famille aisée, plutôt le contraire. Mais d’une famille de ferrailleur, d’une certaine manière proche tout de même du monde de l’auto. En ayant été face à tout un panel d’automobiles, de tout genre, de toute époque, de toute origine.
Mais cela leur a permis d’être aussi en présence d’un monde de la « débrouille », où on pouvait tout réparer, tout recycler à partir de « déchets ». Enfin ce qu’à l’époque on considérait comme des poubelles, et qui aujourd’hui, à l’heure de l’écologie à pris toute sa valeur.
Bien avant l’heure de la « mode » écologiste, et ses dérives, ils étaient déjà en présence de cette vraie économie circulaire, locale, et verte surtout en valorisant ce que d’autres auraient jeté. Tout en ayant une éthique, tout était abordable, même à des gens avec peu de moyens.
Leurs formations, dans la logistique pour l’un, et dans la direction artistique et le design pour l’autre, leurs ont donné les outils nécessaires à la naissance de Allure Provence et de leur projet initiale : le Projet-A 504.
nos valeurs
La continuité de l’histoire
Ainsi Allure Provence hérite de toutes les valeurs inscrites dans ses fondateurs.
Ce désir de faire revivre le rêve automobile de leur père qu’il n’a pas pu assouvir. Le désir de perpétuer l’âge d’or de l’automobile française, avec des voitures qui faisaient rêver, telle que la coupé 504.
De la valeur de l’artisanat et du savoir faire français qu’ils souhaitent perpétuer. Et ainsi éviter la destruction pour aller vers la création.
Un beau pied de nez à leur enfance, à leur père un temps ferrailleur, qui détruisait beaucoup de voitures, mais qui dans un même temps, permettaient à beaucoup de garder un peu plus longtemps leurs autos.
Et surtout, ce désir de rester dans de l’économie circulaire qu’ils savent vertueuse. Évitant ainsi la production inutile de véhicules et la pollution et destruction de milieux associés. Mais aussi permettre à des voitures anciennes, de vivre encore longtemps, dans les normes de sécurité et de rejet de CO2 et de polluant actuels.
Tout en faisant vivre tout un pan de petites sociétés, d’artisans de grandes valeurs. Avec des savoirs faire exceptionnels, mais qui aujourd’hui, dans notre société, ont souvent peu l’occasion d’exprimer tout leur talent.